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Le blog d’une Scop d’informatique qui trace sa route entre réussite économique et valeurs coopératives.

Nos premiers mois chez Alma

Clément et Rémi, embauchés il y a peu au sein du département « Logiciels CFAO », reviennent sur leurs débuts dans la Scop.

Depuis combien de temps êtes-vous à Alma et qu’y faites-vous ?

Clément : Cela fait 7 mois que je suis à Alma. Je suis ingénieur en application robotique, chargé de faire le lien entre les développeurs d’Alma et nos différents distributeurs en France et à l’étranger. Je les aide à utiliser, installer et calibrer le logiciel de robotique, je dois aussi faire remonter les problèmes et les demandes d’amélioration.

Rémi : Je suis arrivé il y a 4 mois. Je suis ingénieur développement en C++ dans l’équipe composant 2D, qui développe des algorithmes d’imbrication automatique.

Comment s’est déroulé le processus d’embauche ?

Rémi : J’ai d’abord eu un entretien classique avec le responsable d’équipe, puis un entretien technique où les questions étaient orientées vers le C++ et la géométrie pour savoir si j’avais des bases suffisantes. Ensuite il y a eu un entretien collectif avec l’équipe « 2D », qui permet de voir si le postulant va bien s’intégrer ou pas. Cela m’a permis de rencontrer ma future équipe.

Clément : L’entretien collectif est spécifique à Alma, il est vraiment intéressant des deux côtés. L’équipe avec laquelle j’allais travailler a pu m’évaluer, sentir si on pouvait travailler ensemble… Cela inclut les personnes dans le processus de recrutement. Quant à moi j’ai pu découvrir l’équipe et comprendre l’esprit Alma. Je pense que c’est ce qui m’a décidé à venir. Après, pour quelqu’un de timide, ça peut être un moment difficile.

Qu’est-ce qui vous a attirés à Alma ?

Rémi : Ce qui a motivé mon choix a été principalement le poste en lui-même, puisque je voulais travailler dans l’algorithmique ou dans le graphique. Je ne connaissais pas bien les Scop et le fait qu’Alma mette en avant cet aspect a aussi piqué ma curiosité. En arrivant, j’ai été surpris par le peu de hiérarchie, tout le monde est considéré de façon égale et on nous laisse beaucoup d’autonomie.

Clément : Je cherchais un métier orienté vers la robotique ou éventuellement dans l’automatisme. Le poste d’ingénieur robotique d’Alma m’intéressait donc. Mais à la base, je ne pensais pas rester à Grenoble. C’est après un entretien avec le responsable d’équipe, qui m’a expliqué plus en profondeur le poste et parlé de la dimension « Scop », que j’ai commencé à me dire que l’offre pouvait vraiment m’intéresser.

L’ambiance au travail ?

Rémi : Il y a une très bonne ambiance dans l’équipe. J’ai pu à de nombreuses occasions obtenir de l’aide et ça m’est arrivé parfois d’aider à mon tour sur certains points. A midi, on a le Bonsens des Mets qui nous cuisine des plateaux repas équilibrés et souvent on se retrouve tous ensemble pour déjeuner. Ensuite il y a des activités comme le ping-pong, certains restent discuter… bref on ne s’ennuie pas !

Clément : Ce qui fait la force d’Alma et que les employés restent, ce sont les conditions de travail. Les gens sont sympathiques, ouverts, on peut discuter de tout. Les horaires sont flexibles, le but est que le travail soit fait.

Même jeunes embauchés, vous vous sentez écoutés à Alma ?

Clément : Dans mon équipe robotique, c’est tous les jours que des décisions sont prises et que je me sens écouté. Au niveau de la boîte, Il y a eu deux grandes décisions sur lesquelles j’ai été consulté : sur le rachat d’un éditeur de logiciels allemand et sur le fonds CoopVenture. Il y a eu des débats, des « Alma Café » qui ont permis de donner notre avis et d’apporter des réponses. Du coup, au moment du vote, la décision a été consensuelle. Mais ce qu’il y a de plus intéressant dans la vie d’Alma, c’est l’« ElVa ». C’est un processus durant lequel on choisit qui va diriger le département pendant trois ans, et surtout avec quel programme. C’est le moment où toute l’équipe construit ensemble un projet à court et moyen terme.

Rémi : J’ai l’impression d’être considéré comme un égal, d’avoir des responsabilités, de ne pas être juste un développeur. La vie de la Scop, notamment avec tous les documents qui sont envoyés en interne, permet de mieux comprendre comment fonctionne l’entreprise, les enjeux, les décisions… Globalement, d’être plus impliqué.

Comment Alma vous permet de mettre à profit ou de développer vos compétences ?

Clément : Mon poste n’est pas très complexe techniquement mais il nécessite énormément de connaissances. Cela fait plus de 6 mois que je suis ici et j’apprends encore beaucoup tous les jours. Le périmètre du poste est très large et cela me permet de me former en informatique, en mécanique, en robotique et même en relation client. On m’a très rapidement fait confiance pour contacter des clients, réaliser des démos ou pour faire des installations en autonomie. Par exemple, je reviens du Japon où je suis allé former des clients.

Rémi : Le fait d’être confronté à d’autres outils informatiques que ceux que j’utilise habituellement me permet d’élargir mes connaissances. Ensuite, grâce aux échanges avec l’équipe, à la relecture de code… j’ai appris de nouvelles choses non seulement en programmation, mais aussi au niveau des pratiques de nos clients. Mon travail à Alma m’amène à beaucoup lire et réfléchir sur les algorithmes. En plus d’apprendre et d’améliorer mes compétences pour résoudre des problèmes plus ou moins connus, les contraintes spécifiques auxquelles nous sommes confrontés, du fait par exemple des différentes technologies de découpe, m’amènent à devoir en inventer de nouveaux. C’est stimulant !

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